Merci, cher confrère Joris Benelle , pour ce partage qui soulève des questions cruciales sur l’évolution de nos pratiques professionnelles et personnelles, tout en mettant en péril la sérénité de ton café matinal ☕️😅.
Le concept de "tracances" s’inscrit effectivement dans une tendance inquiétante qui floute de plus en plus les frontières entre vie professionnelle et vie privée 🌐. Dans ce contexte, le droit à la déconnexion devient plus que jamais indispensable pour protéger la santé mentale et physique des travailleurs 🧠💪. Ce droit, intégré dans le Code du travail en 2017, s’applique également à la fonction publique depuis 2019, imposant aux employeurs publics de garantir que leurs agents puissent déconnecter en dehors de leurs heures de travail 🏛️.
Soyons honnêtes, n’est-ce pas un peu paradoxal ? On passe notre temps à prêcher l’évangile du sacro-saint équilibre entre vie pro et vie perso ⚖️, et maintenant, on nous propose de travailler entre deux plongeons dans la piscine 🏊♂️. Bonjour la déconnexion ! 😂
Pour éviter de passer pour un rétrograde, je vais tenter de jouer l’avocat des nouvelles générations 👨⚖️. Elles en ont assez des concepts flous. Ce qu’elles veulent, c’est un vrai temps pour elles, pour recharger les batteries 🔋 et profiter de leurs proches 👨👩👧👦, sans être constamment accrochées à leurs mails 📧. Et franchement, on les comprend !
Bref, pour ceux qui sont en vacances, je souhaite de bonnes vacances 🎉 et vous encourage à oublier les tracances 🌴. Et pour ceux qui bossent, laissez aussi les tracances de côté ; elles resteront une absurdité journalistique destinée à vendre du papier 📰😉.