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Lionel Pérès 🤝
✅ DGS - Ville de Vaison-la-Romaine | Leadership stratégique
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June 23, 2024
Merci Mme Gabrielle Halpern pour votre intervention. Au delà de la partie présentée dans cette vidéo, un peu plus tard dans le débat, j'ai été captivé par votre analyse du citoyen sollicitant le politique en lui demandant "qu'est ce que vous allez faire pour moi ?". Permettez moi de réagir à vos propos. Concernant la responsabilité du politique dans cette dynamique, je partage votre constat sur le "clientélisme". C'est effectivement une pratique largement répandue, ancrée dans une démarche de séduction électorale. Les politiques, pour être entendus et contraints par des échéances à court terme, se focalisent davantage sur l'amélioration du présent que sur la construction de l'avenir, incitant ainsi les citoyens à adopter une attitude consumériste vis-à-vis de la politique. Quant à la responsabilité du citoyen "qui vient quémander son petit intérêt particulier médiocre", votre analyse est pertinente. Si nous agissions véritablement en tant que citoyens et non en clients, en œuvrant collectivement pour un "Intérêt général" avec un I majuscule, nous pourrions transcender les débats identitaires et les pertes de repères collectifs qui fragilisent actuellement notre cohésion sociale. Pour conclure, il me semble crucial de repenser notre rapport à la citoyenneté et à la politique. Cela implique un effort conjoint des politiques et des citoyens pour se recentrer sur le bien commun, favoriser le dialogue constructif et développer une vision à long terme de notre société. Ce n'est qu'en cultivant cette responsabilité partagée que nous pourrons restaurer la confiance en l'avenir et renforcer notre démocratie qui en a bien besoin dans ce contexte.
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June 23, 2024
Madame, Vous vous présentez comme "Journaliste d'investigation", et pourtant vous affirmez que Mme Castets, en se mettant en disponibilité, continuerait à être payée tout en accumulant de l'ancienneté, le tout "aux frais des contribuables". Ces propos sont non seulement inexacts mais aussi profondément trompeurs. Permettez-moi de vous rappeler qu'un fonctionnaire en disponibilité ne perçoit aucune rémunération de son employeur public, et que son ancienneté est également suspendue durant cette période. Votre affirmation est donc totalement erronée. Cette procédure, loin d'être un "privilège", est une disposition qui existe justement pour permettre à des individus engagés au service public de pouvoir exercer d'autres fonctions, notamment en politique, sans continuer à percevoir des fonds publics. Attiser la méfiance envers les agents publics en opposant de manière simpliste et clivante le secteur public et le secteur privé ne sert qu'à alimenter des polémiques stériles. Votre rôle de journaliste, qui implique une responsabilité particulière, devrait vous amener à vérifier scrupuleusement les faits avant de publier de telles assertions. Votre conclusion, « Tu m’étonnes, dans ces conditions, on le serait tous… Au diable transparence et équité ! », est particulièrement choquante et je n'évoque même pas la fin de la phrase tellement vous devriez avoir honte de l'avoir écrite. Est-ce une forme de frustration ou de jalousie vis-à-vis des agents publics qui vous pousse à dénigrer ainsi une partie de la population qui s'engage quotidiennement au service de l'intérêt général ? Personne ne vous a interdit de travailler dans la fonction publique ou de vous mettre au service des citoyens. Votre métier vous confère un pouvoir d'influence, mais aussi un devoir d'exemplarité. Que vous choisissiez de tourner ce pouvoir contre des individus sans fondement avéré est regrettable et indigne de la profession de journaliste. [[Republiez, republiez, republiez, il faut que cette désinformation cesse]]
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August 30, 2024
𝗙𝗶𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗮𝗶𝗹𝘀 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗮𝗴𝗲𝗻𝘁𝘀 : 𝘂𝗻 𝗼𝗯𝗷𝗲𝗰𝘁𝗶𝗳 𝗮𝘁𝘁𝗲𝗶𝗻𝘁 🎯 Fixé en 2020, atteint en 2025… 5 ans plus tard, quel bonheur de pouvoir dire : mission accomplie. Sous la plume de Maud Parnaudeau, l'excellent article sur la surcharge informationnelle reprend ce point que nous avions évoqué ensemble lors d'une discussion sur d'autres sujets de transformation numérique. Vous avez été nombreux à m’interroger depuis : voici donc quelques précisions, partagées au bénéfice de tous. 👉 À l’origine, l’objectif n’était pas de réduire le nombre de mails (nous en avions bien moins qu’aujourd’hui), mais de répondre à plusieurs défis majeurs : 📌 Le flux exponentiel de données traitées par chaque agent, avec des projets menés en parallèle qui imposent du partage en temps réel. 📌 La boite mail, n'est pas un outil de gestion des documents. Elle n'est pas partagée en équipe, tous les essais de boites de groupe ou partagées sont des échecs. Les boites de services d'une époque précédente devraient être supprimées. Anonymes et génériques, elles sont non conformes à la charte Marianne. 📌 Le formalisme historique des mails : bonjour, formule de politesse, liste des destinataires...voir ordre des destinataires pour certains... sont une perte de temps dramatique, un risque d'erreur ou de vexation. 📌 La cybersécurité, puisque le phishing reste la première porte d’entrée des attaquants : moins de mails = plus de vigilance. 👉 Ce que la plateforme collaborative a changé : 📌 Toutes les infos et documents liés à un sujet sont traités dans l’espace d’équipe dédié, accessibles en temps réel. 📌 Les données sont sécurisées et archivées, disponibles même en cas d’absence ou de départ d’un agent. 📌 Finies les formules de politesse et les chaînes interminables : les échanges sont courts, ciblés, clairs. 📌 Et surtout : un mail interne reçu = alerte. Soit une erreur, soit une tentative de phishing. Cette règle simple nous a permis de bloquer plusieurs attaques sophistiquées. Après cinq ans de persévérance et de conduite du changement, la suppression des mails internes entre agents est devenue une réalité. Un pas décisif pour réduire la surcharge informationnelle, renforcer la sécurité numérique et… libérer énormément de temps.
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September 10, 2025